Les Contes d'Ernelzya
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 Thaïlys, ou l'amour d'une soeur

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Thaïlys
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Thaïlys

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MessageSujet: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitimeMer 12 Juin - 18:42

[Oui, je sais, l'était temps...]

Nom :
Heimflain
 Prénom : Thaïlys
 Age : 18 ans
 Caractère : En temps normal, elle est plutôt calme, même si peu à l’aise avec les gens qu’elle ne connaît pas. C’est plutôt le genre timide, mais qui ne laisse rien transparaître, elle sait aussi user d’un certain don d’actrice pour rouler ses interlocuteurs dans la farine si elle le souhaite (à moins qu’ils ne soient très perspicaces). Elle peut être passive, ne parlant qu’en temps voulu lorsqu’on la requiert sur un sujet ou alors au moment où l’on s’y attend le moins. Souvent, elle semble être dans un autre monde, les yeux dans le vague, ce qui donne l’impression qu’elle n’a pas totalement la tête sur les épaules en cas de souci (ce qui risque de nuire gravement à sa fonction). Mais elle est à l’écoute, et s’avère être loyale envers ceux qui lui inspirent confiance. Sa particularité est sa capacité à pouvoir ressentir les sentiments d’autrui, ce dont elle ne fait pas part aux autres, étrangers ou amis.
 Signe particulier : Contrairement à certains de ses compatriotes de la forêt de Landayën qui sont plutôt casaniers, Thaïlys est curieuse de tout. Les inventions humaines la fascinent et son désir est d’un jour visiter tous les lieux importants du monde, du pays des Anges jusqu’à l’école d’Ernelzya. Elle a en revanche une crainte du peuple des démons qui se mue en haine, même si elle est capable de faire des concessions sur sa propre race. En fin de compte, sa vision des choses est plutôt manichéenne.
 Race : Elfe
 Elément : Feu
 Métier : Non défini, mais elle veut devenir garde du corps pour voyager à travers le pays.
 Technique de combat : C’est une archère de grand talent, mais très vulnérable au corps à corps. Elle possède aussi un poignard en cas de réel besoin, mais excelle véritablement dans les attaques à distance. Elle n’aime pas tuer, mais le fait sans état d’âme lorsqu’elle n’a pas le choix. Elle vise toujours juste.
Elle utilise aussi sa magie dans les cas d’ultime recours. Elle maîtrise le feu, qui est un élément instable, et qui suscite la méfiance de ses pairs puisqu’il est destructeur (y compris et surtout vis-à-vis des forêts). Thaïlys est la seule Elfe qui maîtrise cet élément depuis sans doute une centaine d’années, du moins, c’est ce qu’elle pense, puisqu’elle n’a jamais rencontré un semblable qui le manipule aussi.
 Arme utilisée : Un arc (et les flèches qui vont avec, bien sûr). Il est loin d’être un simple objet d’apparat, mais elle a le désir de ne s’en servir que peu. Pourtant, c’est une arme redoutablement efficace lorsqu’il est entre des mains expertes. A première vue, elle paraît basique, sans ouvrage particulier, mais si on la lui arrache, c’est comme si on lui coupait un membre. En second lieu, un poignard, mais elle le garde toujours dans son fourreau quand elle peut l’éviter. C’est un cadeau pour ses quinze ans.
 Votre histoire :

          
Thaïlys n’était pas une enfant à problème, et sa famille était convenable, du moins aux yeux des Elfes de Landayën, cette patrie qu’elle aimait plus que tout. Elle était sérieuse, même, et vivait en harmonie avec la nature, ses parents et ses amis.  Pour elle, le monde se résumait à son environnement, sa forêt, et sa famille. Elle aimait sa mère plus que tout, ne réservait ses sourires qu’à elle, et révélait un caractère plutôt cordial aux autres habitants, bien que sa conduite ne fût pas la même qu’au sein du cercle familial.
Toute petite déjà, elle aimait s’instruire. On lui apprenait à se servir de sa magie à bon escient, lui martelant sans cesse qu’il ne fallait l’utiliser que pour protéger les bienfaits de la nature, et non pour blesser quiconque. Suivant ces indications, elle n’avait jamais eu véritablement de problème au sein de sa communauté, même si elle développa d’étranges aptitudes pour l’élément feu qui suscita une polémique au sein de la population, qui ne voyait pas ce don d’un bon œil. Des jeunes Elfes, on attend souvent qu’ils soient en phase avec la nature et fassent donc en sorte qu’elle leur obéisse. Mais Thaïlys était une enfant particulière qui avait préféré la destruction à la vie. Et pour cela, malgré sa gentillesse à toute épreuve, on la craignait un peu.
      Malgré cela, son enfance était somme toute heureuse, tant qu’elle ne prenait pas conscience de l’inquiétude qu’elle provoquait chez ses proches, qui la traitaient comme si elle était une bombe à retardement qui allait brûler la forêt un jour ou l’autre si elle n’y prenait pas garde. Seulement, un évènement changea sa petite vie monotone, et son caractère par là même, qui en resta profondément affecté par la suite.
            Un jour, un humain arriva, blessé, et tomba évanoui à l’entrée du village. Elle devait avoir cinq ans, mais elle s’en souvenait distinctement. Les Elfes, bien que méfiants, le soignèrent et le gardèrent en convalescence tout le temps qu’il fallût, et au bout d’un mois, l’homme était sur pied. Au début, Thaïlys faisait comme tout le monde : elle se tenait éloignée de lui, sans comprendre que les autres la fuyaient aussi. Il semblait s’être rapproché de sa mère durant tout le temps qu’elle passa à s’occuper de lui avec d’autres soigneuses. Lorsqu’un jour, malgré elle, elle se retrouva face à lui, il eut une réaction qui l’étonna :
            « C’est donc toi la fille de Ceridwen ? » lui demanda t-il, tout sourire.
            A l’époque, Thaïlys était à un âge où elle pensait que papa et maman étaient les noms des parents. Ceridwen lui était inconnue. Mais de toute manière, elle ne sut répondre, car il enchaîna :
            « Ta mère me parlait de toi… Tu fais donc de la magie de feu ? C’est un élément utile, je dois dire. Si tu t’en sers à bon escient, il te servira à faire le bien. »
            A ce moment-là, sa mère était intervenue et la conversation s’était interrompue. Mais l’enfant avait pris conscience à partir de ce moment que les autres ne l’aimaient pas tellement, contrairement à ce qu’elle pensait avant.
            Entre-temps, le père de Thaïlys, Erwan Heimflain, qui soupçonnait une relation entre sa compagne et l’étranger, devint de plus en plus irascible avec elle, exaspéré de la voir s’éloigner chaque fois plus de lui. La relation parentale en prit un coup et l’impact fut en conséquence violent sur la petite fille, qui sortait souvent pour pleurer dehors. Elle ne comprenait pas tout cela, puisqu’elle n’avait que cinq ans. Sa mère eut beaucoup de mal à apaiser son père, et lui promit même d’arrêter de voir l’étranger, si c’était cela qui lui faisait peur. Suite à cet accord tacite, l’humain choisit de quitter la cité elfique, estimant que sa convalescence était terminée. Son absence provoqua alors une nouvelle tension au sein de la famille, montrant que Ceridwen peinait beaucoup à cacher quelque chose. Mais son père, satisfait de ne plus voir de potentiel rival, faisait mine de ne rien voir de cette atmosphère morose.
            Un beau jour, alors que Thaïlys et son père revenaient d’une promenade en forêt, Ceridwen demanda à parler à Erwan, et ils laissèrent la petite fille à ses jeux, celle-ci ne se doutant absolument de rien. Ce furent les cris de son père qui la ramenèrent à la réalité et la convainquirent d’aller voir ce qu’il se passait, dans la chambre parentale. Ce qu’elle vit l’effraya. Non que son père, très coléreux, fut sur le point de frapper sa mère (ce n’était absolument pas naturel chez lui, puisque ce comportement était davantage humain selon lui et qu’il ne valait pas la peine de s’abaisser à leur niveau), mais il criait si fort qu’elle pleurait, affalée sur le sol, se cachant le visage dans les mains. Lorsqu’elle crut bon d’intervenir, il s’arrêta aussitôt de vociférer, mais la lueur de colère dans ses yeux ne s’éteignit pas pour autant. Enfin, il avança vers sa fille qui recula par peur et la saisit par le col, d’une façon telle qu’elle manqua s’étouffer. Il lâcha un glacial : « je pars avec Lys, je ne veux plus jamais te voir » et la força à partir, contre sa volonté, alors qu’elle ignorait tout de ce qu’il se passait.
            Erwan et sa fille allèrent vivre chez un camarade de ce dernier, que Thaïlys n’aimait pas beaucoup. En effet, les adultes avaient des conversations ennuyeuses, et ils lui faisaient peur aussi puisqu’ils ne cessaient d’agonir d’injures la mère de l’enfant. A la fin, harassée, elle demanda une fois pour toutes ce qu’il se passait, et son père finit par lâcher une réponse vague : « ce n’est pas quelque chose que tu as besoin de savoir, ma chérie. Ta mère nous a seulement trahis, tous les deux.
            -Mais pourquoi, papa ?
            -Elle a fait quelque chose d’ignoble. »
            Comme elle ne parvenait pas à savoir quoi, elle décida d’échapper à la surveillance de son père et retourna chez elle, où sa mère l’accueillit en pleurant. En quelques jours, elle semblait amaigrie et malade. Elle gardait le lit et personne n’était venu s’occuper d’elle. Alors sa fille prit les choses en main, et lui demanda des explications. Sa mère finit par lui avouer la vérité : elle allait avoir un petit frère ou une petite sœur. Cependant, ajouta t-elle, ce n’était pas l’enfant de son père, donc ils ne partageraient que la moitié du même sang.
            « Qu’est-ce que tu veux dire, maman ? demanda t-elle, de sa voix fluette.
            -Tu te souviens de cet humain… Celui que j’ai soigné… Eh bien, un jour, on s’est aimés tous les deux, et il m’a laissé ça comme cadeau d’adieu. »
            Thaïlys fronça les sourcils. Elle ne voyait pas vraiment pourquoi son père se mettait en colère pour ça, mais Ceridwen apporta des précisions :
            « Normalement, il n’y a que ton père qui aurait dû me faire ce cadeau. Tu en as été un, tu sais, de sa part. Eh bien, c’est très mal vu que j’aie un cadeau de la part de quelqu’un d’autre.
            -Mais je comprends pas tout, maman. Moi, je reçois des cadeaux de plein de gens, et personne ne dit rien.
            -Oui, mais les bébés, ce n’est pas n’importe qui qui les donne. »
            Finissant par accepter l’explication, étant encore un peu jeune pour tout comprendre, elle resta au chevet de sa mère jusqu’à ce que quelqu’un vienne la chercher en lui disant que son père se faisait un sang d’encre. Elle lui fit promettre de ne pas dire où on l’avait trouvée, et son père ne sut rien à ce sujet.
            Mais néanmoins, elle n’était pas heureuse avec lui. Elle allait voir sa mère en cachette, sachant qu’il n’aimerait pas cela du tout, et souffrait de ce nouveau mode de vie, qui semblait rendre son statut de paria plus marqué qu’avant. Elle ne jouait pas avec les autres enfants et voyait le ventre de Ceridwen grossir mois après mois. Les Elfes avaient la même période de gestation que les êtres humains, même si les forces de la nature donnaient à l’enfant des particularités en plus. Or, c’était un hybride qu’attendait sa mère, et elle avait compris que son père n’aimait pas cette « fausse race » ou « caste bâtarde » comme il les appelait. C’était pour cela qu’il s’était mis en colère, même si le fait d’avoir été trompé jouait aussi. Encore, un autre Elfe, il l’aurait accepté malgré son sentiment d’avoir été floué, mais un être humain, c’était simplement inacceptable. Thaïlys revoyait encore le sourire de ce dernier et en venait à la conclusion qu’il était malfaisant, parce qu’il avait conduit la famille au désastre. Plus rien n’allait être comme avant.
            Le bébé naquit des mois plus tard. Il s’appelait Kylian, et il était beau. Thaïlys se jura de veiller sur lui. Elle l’aimait déjà même si elle lui en voulait d’être né, parce que si ça n’avait pas été le cas, son père et sa mère seraient encore ensemble. Néanmoins, elle voyait son demi-frère comme un substitut à l’absence d’affection que son père lui vouait, ces derniers temps, sachant qu’il constatait qu’elle aimait toujours sa mère et allait la voir contre sa volonté. Il avait fini un jour par lui lâcher violemment : « de toute manière, tu n’es qu’une bonne à rien. Tu es vouée à tout détruire avec le feu, alors éloigne-toi immédiatement de moi. Je ne veux pas être brûlé vif par ta faute le jour où tu déclencheras une catastrophe, sois plutôt près de ta mère et de ce bâtard pour leur donner la chance de mourir ! » Blessée dans l’âme, elle perdit confiance en elle et s’efforça de ne jamais faire de magie devant son frère.
            Un jour, la santé de sa mère se mit à décliner et elle tomba brutalement malade. Malgré l’intervention des soigneuses de la cité, il n’y avait aucun espoir. Thaïlys et Kylian avaient alors respectivement dix et cinq ans, et restèrent jour et nuit à son chevet. Une nuit, alors qu’ils dormaient paisiblement sur le lit avec elle, la fillette se réveilla la première et constata alors que sa mère toussait à en cracher du sang. Elle tenta de calmer sa crise, de lui taper dans le dos, mais Ceridwen ne parvenait déjà plus à respirer et finit par s’affaisser dans le lit, épuisée, les yeux exorbités. Thaïlys lui essuya la bouche avec une serviette, et ne s’aperçut pas immédiatement que sa mère était au seuil de la mort. Ce fut lorsque sa respiration, de plus en plus douce et silencieuse, s’arrêta qu’elle découvrit l’atroce vérité mais ne voulut pas la savoir, cherchant à tout prix à réveiller Ceridwen. Kylian se réveillait à peine qu’il la vit, au petit matin, en train de pleurer sur le corps de la défunte.
            Ceridwen fut enterrée dans les règles, au cours d’une belle cérémonie, bien que peu de monde y allât parce que les gens savaient ce qu’elle avait fait à son compagnon, et compatissaient davantage au sort de ce dernier. En voyant Kylian, les gens le montraient du doigt, détournaient les yeux, et Thaïlys se tenait près de lui, prête à le protéger désormais, à présent qu’ils étaient seuls au monde.
            Mais quelques temps plus tard, Erwan Heimflain réclama sa fille et exigea qu’on emmène l’hybride loin d’ici. Déchirée par cette séparation forcée, la fillette ne put résister à la pression des adultes qui soutenaient son paternel et songeaient que l’exil du garçon ne serait pas un grand mal pour la cité puisqu’il la déshonorait. Ce fut le roi lui-même qui trancha, et opta pour la solution la plus préférable à ses yeux : connaissant personnellement certains directeurs de l’école d’Ernelzya, il leur enverrait Kylian pour qu’il y fasse ses études et y grandisse comme n’importe quel garçon de son âge. Ernelzya avait la réputation de ne pas être regardante sur la race des élèves et beaucoup d’Elfes critiquèrent son choix, bien qu’ils ne pussent faire grand-chose contre.  
            Thaïlys se retrouva seule avec son père, avec qui elle entretint une relation très tendue. Il essayait vainement d’établir un lien affectif avec elle, mais le fil s’était brisé depuis longtemps, depuis son comportement qui avait été, pour elle, traumatisant. Elle était obligée de cohabiter avec lui, mais ne lui parlait pas, ne se confiait pas à lui. Il finit par ressentir une profonde colère et rejeta la faute sur Ceridwen et son rejeton illégitime, ce qui mit Thaïlys hors d’elle. Elle fugua plusieurs fois, mais revint toujours parce qu’elle n’avait nulle part où aller.
            L’adolescence fut plus difficile encore, mais elle supporta le poids difficile de sa vie. Elle pensait souvent à son demi-frère et avait le désir de lui rendre visite, mais les Elfes de Landayën ne sortaient pas beaucoup de la forêt, et personne ne se porterait volontaire pour l’accompagner, surtout pas son père. Elle se mit à se passionner pour le monde extérieur, l’idéalisant presque en songeant qu’il la rendrait libre, un jour, lorsqu’elle le visiterait.
            Elle commença à passer son temps à s’entraîner à l’arc et à rêvasser, perdue dans des pensées de voyages haletants. Quant à Erwan Heimflain, qui tentait tant bien que mal de renouer des liens avec sa fille, il eut vent de ses talents d’archère et lui fit un jour cadeau d’un poignard elfique (pour qu’elle puisse se défendre au cas où elle devait se battre au corps-à-corps, disait-il). Elle le conserva précieusement, bien que ses sentiments envers lui restassent ambigus au possible.
            Au fur et à mesure, en pratiquant sa magie, Thaïlys s’aperçut que cet élément qui tenait les Elfes à distance n’était pas si dangereux qu’on le disait. En effet, il servait aussi à protéger en cas de besoin. Ainsi, plus que la destruction, il apportait la vie, et sans lui tant de choses auraient été impossibles. Cette évidence lui redonna une nouvelle confiance en elle qui lui fit dire que, peut-être, elle n’était pas si inutile qu’elle le pensait.
            Elle espérait chaque fois voir revenir son frère, mais jamais ce ne fut le cas. Sans doute l’avait-il oubliée. Après tout, il était trop jeune pour se souvenir vraiment du visage de sa grande sœur.
            Son plus fort désir était d’un jour se rendre à Ernelzya pour le revoir et lui demander pardon un million de fois, pour tout ce qu’ils avaient vécu dans leur enfance. Aussi, se préparait-elle à entamer un grand périple à travers Mythra pour atteindre la mer et accéder à cette île étrange abritant la plus prestigieuse des académies. Peut-être allait-elle avoir la chance de le serrer dans ses bras à nouveau.

[Pardonnez la longueur du texte. Si besoin est je pourrais raccourcir]
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MessageSujet: Re: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitimeMer 12 Juin - 19:51

Et bien ma foi, je n'ai strictement rien à redire sur cette fiche !

C'est très bien écrit, univers bien respecté, bref, du très bon boulot qui paie =D

Je te valide de ce pas chère Lys, puisse-tu t'amuser comme avant, voire d'avantage !
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MessageSujet: Re: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitimeMer 12 Juin - 20:37

Thaïlyyyyyyys =D

On te retrouve ^____^ J'espère que ça te plaira, tu l'attendais, le site =)

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MessageSujet: Re: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitimeJeu 13 Juin - 7:57

L'histoire m'a donné envie de pleurer xD Mais j'aime beaucoup n__n
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MessageSujet: Re: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitimeJeu 13 Juin - 8:15

D'ailleurs, j'ai oublié de dire, mais je pense que tu le sais vu que c'est le même système que l'ancien fofo, tu peux aller te choisir un rang (https://ernelzya.forumactif.org/t2-choisissez-un-rang) si tu le souhaite =)
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MessageSujet: Re: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitimeJeu 13 Juin - 8:16

Ah oui j'avais complètement oublié ce détail XD

Bref, merci à vous ! Je pensais pas que j'allais donner envie de chialer.

PS : ça valait le coup de vous faire lambiner, bande de petits impatients !
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MessageSujet: Re: Thaïlys, ou l'amour d'une soeur   Thaïlys, ou l'amour d'une soeur Icon_minitime

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